Je suis un fervent adepte de la vision politique liée au service de la communauté. Mon idéal politique et managérial est lié au fait que la personne qui dirige est au service de ceux qu’elle dirige. Elle les conduit, elle les gouverne mais en tenant compte de l’évolution positive globale du groupe.
Dans la vente, il est toujours question d’émotions. Elles ne sont pas toujours positives car très souvent nous pouvons avoir un rejet des vendeurs en général. On veut parfois se protéger et ne pas se faire avoir.
Chaque jour qui passe peut nous apporter de nouveaux défis ou simplement la routine quotidienne. Parfois, c’est la surprise. Vous aviez prévu quelque chose et voilà que l’imprévu sonne à votre porte ; parfois il est porteur de bonnes nouvelles, parfois, hélas, ce n’est pas le cas.
« Ce qui ne se mesure pas ne s’améliore pas. » William Edwards Deming. Je vous parlerai ce jour d’évaluation. En général, nous n’aimons pas les évaluations. Cela fait penser à l’école et à de mauvais souvenirs d’examens, de stress, de nuits d’étude pour certains. Or, force est de constater que sans évaluation il n’y a pas moyen de se situer et de savoir si on connait bien ou pas, si on fait bien ou pas…
Parfois dans la vie nous sommes dépassés. Dépassés par les événements, dépassés par les personnes qui nous côtoient. Nous ne comprenons plus. Nous ne savons plus que faire. Nous avons l’impression que quel que soit le choix que nous allons faire, nous sommes perdants. C’est le fameux dilemme cornélien.
Cette semaine, que j’ai passée en partie en compagnie de 12 managers d’une entreprise importante dans la production bananière, m’a permis d’être à nouveau en contact avec les préoccupations des managers de terrain et cadres intermédiaires. Cela a déjà donné lieu à l’article sur « Pourquoi donner de la reconnaissance ». Maintenant, j’aimerais aborder la réflexion sur la qualité de chef et l’art de diriger.
« Nos réactions ne seraient pas causées par le monde extérieur mais par nos perceptions de ce monde. » Carl Rogers C’est parfois assez déroutant de se rendre compte de cela. Dans nos interactions quotidiennes, nous avons souvent tendance à mettre l’accent sur les circonstances, sur les autres. Nous les voyons souvent responsables de nos problèmes et difficultés. Or, si l’on prend le recul nécessaire, il est évident que nous sommes souvent notre propre bourreau ou, en tout cas, nos perceptions nous trompent souvent sur l’essentiel.
Le domaine de formation dans lequel j’exerce est de changer des comportements, des habitudes qui parfois sont très anciens. Adopter de nouveaux comportements, plus adéquats en termes de communication et d’intelligence émotionnelle est donc souvent capital pour mieux assumer sa fonction de manager, de commercial, de collaborateur ou simplement de partenaire.
Le leadership dans son évolution actuelle doit de plus en plus faire face aux changements et amener la performance dans l’entreprise. Cela ne peut se faire qu’avec un engagement important de tous les collaborateurs. Cet engagement est difficile à obtenir si le management n’est pas ouvert et capable de mobiliser.
Chaque jour qui passe, nous faisons certaines choses, poussés par les objectifs que nous nous fixons ou par le désir qui nous anime à satisfaire divers besoins. L’idéal est peut-être de pouvoir se fixer des objectifs en rapport avec nos besoins les plus profonds.
