La qualité de la communication tient souvent à de petits détails et le respect de certains points essentiels liés au fonctionnement du cerveau. Nous en savons heureusement de plus en plus grâce aux connaissances de la psychologie et des neurosciences qui évoluent sans cesse.
La semaine passée, je vous parlais de succès, d’échecs. Et nous avions vu que très souvent sans doute nous sommes nous-mêmes les artisans de nos échecs. Que ce soit par nos croyances, nos pensées limitantes, notre manque d’affirmation et de courage ou encore parce que nous n’aimons pas assez nos rêves.
Ce matin, je lisais la dernière newsletter de James Clear, l’auteur de Atomic habits, qui nous parle notamment de l’échec en citant John Gardner : « Avez-vous collaboré à votre propre défaite ? Beaucoup de gens le font. Apprenez à ne pas le faire. ». Nous pouvons donc nous poser la question de savoir comment nous nous battons, comment nous faisons face, comment peut-être nous produisons les graines de notre propre échec ?
Après avoir donné ces deux dernières semaines 8 jours de formation sur les relations interpersonnelles et la prise de parole, je retire plusieurs enseignements. La communication interpersonnelle reste vraiment un challenge pour la plupart des personnes en entreprise et en dehors. Les difficultés sont pour ma part principalement liées à la difficulté pour la plupart des participants de communiquer en toute conscience.
Depuis le début de cette semaine, je suis plongé dans la communication, le leadership, les relations interpersonnelles et la prise de parole. Je termine la semaine avec une formation sur la prise de parole et la capacité de parler en public avec efficacité. Dans cette formation, je développe 10 clés qui permettent de développer le charisme.
Cette semaine, mes réflexions vont dans diverses directions. Si vous avez lu mes derniers articles, vous aurez constaté que je suis plongé dans le leadership et cela me permet d’aller plus loin encore dans les éléments théoriques sur cette notion qui est en constante évolution.
Parfois, tout semble aller bien pour nous. Nous faisons ce que nous aimons, nous sommes respectés par les autres, et puis tout à coup tout peut sembler basculer. Les paiements que vous attendez depuis des semaines ne viennent pas, on vous fait des reproches injustifiés, etc ...
Cette semaine, mes réflexions se sont beaucoup portées sur le leadership. J’ai fait quelques recherches sur l’utilisation du mot « leadership » dans la langue française. Plusieurs articles m’avaient déjà interpellé sur la difficulté d’expression du leadership dans les entreprises françaises. C’est aussi ce que je constate dans mon expérience de terrain dans les formations pour managers dans divers secteurs économiques.
« Dans l'histoire d’une vie, on n’a jamais qu’un seul problème à résoudre, celui qui donne un sens à notre existence et impose un style à nos relations. » Boris Cyrulnik. La question du sens revient souvent quand on parle de motivation au travail, de conviction, d’influence, de leadership… Le bon manager-leader est celui qui sait donner du sens au travail ou aider le collaborateur à trouver le sien.
« Les émotions se manifestent sur le théâtre du corps ; les sentiments sur celui de l’esprit. » Antonio R. Damasio C’est intéressant car la séparation entre sentiment et émotions n’est pas facile et prête souvent à confusion et surtout si les textes sont traduits d’autres langues ou de texte anciens.
