La session Toastmasters de samedi dernier était une session « moments de vérité ». C’était une session d’évaluation du club pour en améliorer divers éléments. Lors de cette session, il y a eu des improvisations sur le thème de la vérité avec différentes approches. Cela m’amène à vous proposer quelques citations et réflexions sur ce thème.
Si l’on suit le dictionnaire « Larousse », l’éloquence est l’art de bien parler, l'aptitude à s'exprimer avec aisance, la capacité d'émouvoir, de persuader, ou encore, le caractère de ce qui — sans paroles — est expressif, significatif, probant : comme dans l'expression « l'éloquence des chiffres ». Nous aimerions aller plus loin et voir comment éclaircir cette notion d’éloquence, qui est un des outils de l’art oratoire.
Je poursuis mes réflexions de la semaine dernière avec l’art de la persuasion. J’ai eu l’occasion de lire le livre de Guiguzi, un maître chinois de la persuasion. Son livre, l’art de la persuasion, est le pendant pour les diplomates de l’époque du livre de Sun Tzu, l’art de la guerre. L’époque de ces auteurs est une époque de troubles et de guerres, c’est la période des royaumes combattants en Chine, vers le 5ème siècle.
Nous sommes dans une époque où l’on parle beaucoup d’influence, de leadership, de charisme. C’est intéressant de se plonger dans le passé pour comprendre les racines de cet art de la persuasion. Ceci complète notre article sur l’art oratoire. On pourra constater que le contexte historique influencera beaucoup la manière d’utiliser les outils de la parole.
L’actualité s’intéresse de plus en plus à la prise de parole en public. Les TED Talks, les concours d’éloquence, magnifiquement illustrés par les films « la voix haute » ou « Brio », montrent l’intérêt du public pour ce genre de prestations qui touchent le cœur et l’esprit. C’est un tremplin pour développer son charisme et son leadership et surtout devenir soi-même !
C’est avec beaucoup de plaisir que je reprends la plume ce matin pour partager avec vous quelques réflexions sur l’art oratoire, la prise de parole en public. C’est une thématique qui me tient à cœur et que je pratique depuis une quarantaine d’années déjà. J'ai eu l'occasion de participer au jury de la demi finale du premier concours d'art oratoire national du Cameroun hier soir, j'y reviendrai dans un autre article.
Cette semaine, je suis dans un mode plus ou moins cool. Je ne suis pas vraiment en vacances, mais c’est un peu ça quand même à certains moments. C’est l’occasion de revoir des personnes connues et aussi de fixer des RDV à des personnes que l’on connait sur les réseaux sociaux mais que l’on n’a jamais rencontrées.
Cette semaine la thématique est liée à comment dire « Non », comment s’affirmer ? Cela suit la réflexion sur la légitimité que nous avons eue la semaine dernière et aussi l’article qui vient d’être publié hier sur « Comment dire non et se sentir bien ». En effet, souvent le manque d’affirmation entraine de la frustration, de la culpabilisation et des émotions négatives. Il s’agit donc de dire « oui » avec le cœur léger et sans ressentis négatifs. Si ce n’est pas le cas il faut dialoguer avec soi-même pour en découvrir les raisons.
Dans la vie professionnelle comme dans la vie privée, il est fréquent de se retrouver dans des situations où nous sommes dans l’obligation de dire non ou dans l’envie de dire non. Cela n’est jamais facile et il est intéressant de se pencher sur cela pour comprendre pourquoi et pour voir comment le faire au mieux, dans l’intérêt de soi-même, et aussi de la relation avec nos interlocuteurs.
Je viens de passer 4 jours de formation à Alger, avec des délégués médicaux spécialisés et leurs managers, dans des indications liées à l’oncologie et des pathologies peu fréquentes. L’objectif de la formation était d’améliorer la communication dans la relation avec les interlocuteurs habituels. Comme dans la plupart des formations pour commerciaux, il y a des réflexes conditionnés qui limitent une bonne communication. Cela est le cas aussi dans la vie de tout les jours.
